enjoy the silence.

individual despair.

Le père Razimov, homme intelligent, rusé, ambitieux. Un cadre de vie aisé, une femme qui l’aime. Famille honorée, entachée par un patriarche qui commettra des actes impardonnables, inqualifiable, qui pourtant, avait tout pour réussir sans blesser autrui.
Sa mère, c'est toute sa vie, même si parfois le dire est difficile. Semblable à une rose qui ne se fane jamais. Fier pour sa patience et sa persistance, tout en étant chaleureuse, accueillante et aimante seront toujours des qualités et des valeurs qu'il souhaite intégrer à sa vie. Sa mère est probablement la raison pour laquelle il a ce côté solaire.  

Conséquences multiformes, la maltraitance psychologique laisse des traces invisibles, parce que personne ne le croit, il n'a pas de preuves. « Regardez ce qu’il me fait ! » il n’y avait rien à montrer. Confronté à la solitude et aux doutes, confiance en lui qu'il perd automatiquement face aux mots fracassants et aussi tranchants qu'une lame de couteau bien aiguisé. Il attaque et critique, parfois de manière insidieuse, absolument tout ce que son fils entreprend. Il divise la fratrie pour mieux régner, a un double visage. Sociable et drôle en société, taciturne et virulent en privé. Son gosse n'a d’intérêt que s’il peut en faire des objets de jouissance. Si Sergey ne correspond pas à l’image souhaitée, il est rejeté, brimé, humilié. Un père qui adore se donner en spectacle et écraser les autres pour paraître plus fort. Une pression parentale qu'il garde sur ses épaules sans cesse, mais comment lui avouer que vivre banalement est un bien-être particulier à ses yeux ?

en construction.